
A la fin des années 80, un physicien du nom de Robert S. Lazar (surnommé Bob Lazar) révéla l'existence d'un centre de recherche baptisé "Secteur 4" (ou "S4"), dont les installations serviraient à la rétro-ingénierie d’engins dits « exogènes » récupérés secrètement et à la conception d’appareils utilisant une propulsion basée sur l’anti-gravité.
Ce complexe souterrain serait situé au Sud-Ouest de la Zone 51, aux abords du lac asséché de Papoose Lake, mais dont seule une infime partie des hangars seraient visibles depuis l’extérieur.

Étudions ensemble cette possibilité…
Robert Lazar parle dans son témoignage de prototypes expérimentaux tels que celui-ci :

Nous ne recherchons pas ici les hangars d’un vaisseau-mère, mais plutôt des structures relativement modestes pouvant accueillir des appareils comme ce dernier.
Le site d’exploitation de ce genre d’engin doit être de toute évidence caché aux yeux du public. Mais pas besoin non plus d’aller le construire au fin fond de la Sibérie…
La Zone 51 est un très bon endroit.
Toutefois… Même si cette base peut servir à développer ce type de technologie, elle n’en reste pas moins un site de test pour des appareils dits "à propulsion conventionnelle" :

Cela étant, même dans les projets les plus secrets, il existe toujours une hiérarchie du « besoin d’en connaître ».
Or, sur une base aussi grande que la Zone 51, il y a un risque de fuite d'informations et de témoignages liées notamment à la présence d’un nombre important de personnels et d'employés.
(Au passage, l'histoire de Bob Lazar en ait la preuve...)
Il se peut donc que dans les années 80 / 90, que des prototypes à propulsion non conventionnel aient été développés directement sur la base, mais que le secteur ait été rendu inapproprié pour la suite des recherches.
Et cela est d'autant plus vrai, qu'il existe un point d'observation d’où le public peut observer le secteur :
Tikaboo Peak à 40Km à l'Est de la Zone 51.

Il faut donc s'éloigner et trouver un endroit plus discret, mais toujours rattaché d'une quelconque façon à la Zone 51, car cette base sert de point d'accès logistique (aspect matériel), ainsi que pour la rotation du personnel (aspect ressource humaine) qui vient essentiellement de Las Vegas, grâce à la compagnie Janet.
Si vous regardez de plus près la zone de Papoose Lake, il n'y a toutefois pas grand-chose qui laisse présager à des hangars dans ce secteur...

Je veux bien entendre qu'il existerait potentiellement une technologie de camouflage optique, ou de recouvrement capable de rendre invisible les hangars, mais nous allons plutôt chercher quelque chose de plus... visible !
Nous allons donc descendre au niveau du Nevada Test Site dans le secteur de Yucca Lake :

A moins de 3Km au Sud de ce lac asséché, se trouve un emplacement géographique très intéressant (en jaune), qui est entouré d'une chaîne de montagne sur la quasi totalité de son périmètre (grand arc de cercle en marron), excepté dans son secteur Sud-Est (mais dont la visibilité dans cet axe est limitée par l'éloignement des installations qui sont situées à environ 13 Km).
Ce qui en fait une zone discrète, toujours dans un secteur sous très haute surveillance et surtout à l'abri des regards...
A noter également, la proximité immédiate d'une base de dernière génération construit sur Yucca Lake vers 2006, qui offre une défense et une protection aérienne remarquable au site.
Nous allons maintenant nous intéresser aux installations situées dans ce cercle jaune et plus particulièrement à ce bâtiment (entouré en bleu) situé à la position : 36°53'53.65"N / 116°02'53.39"O :


En utilisant l'historique des images de Google Earth, nous pouvons remonter jusqu'à cette première image (à gauche) prise en 1985, où cette installation n'existait pas encore. Et comme on peut le voir sur la photo prise en 1998 (à droite), celle-ci n'est toujours pas terminée.
Cela nous donne une première piste de réflexion : cette installation bien qu'étant sur le Nevada Test Site a été construite après la période d'essais nucléaires qui a couvert la période de 1951 à 1992. Plus récente donc, elle constitue potentiellement la base d'un autre programme.
Regardons d'un peu plus près la photo de 1998 :

Comme on peut le voir (au niveau de la flèche rouge), il y a 5 plateformes blanches accolées d'environ 24 / 25 mètres chacune. A première vue, ces surfaces peuvent très bien êtres des ouvertures pour des silos à missiles.
Toutefois pour comparer, les missiles balistiques ont un diamètre qui varient entre 1.5 et 3m pour les plus imposants
et les trappes de leurs silos ne dépassent pas les 11 mètres :

D'après Robert Lazar, les hangars du S4 sont constitués d'ascenseurs permettant l'accès aux appareils à la surface comme représentés ici :


Si vous observez attentivement les photo au niveau de ces plateformes, vous pouvez constater la présence d'un cercle (en orange) d'environ 23m sur chacune d'elle.
Ces surfaces de forme circulaire représentent potentiellement des ascenseurs, menant via un silo à des installations souterraines.
Ces plateformes circulaires de 23 mètres qui font le double du diamètre des appareils lenticulaires (12 / 13m) décrit précédemment, pourrait ainsi permettre à ces derniers de manœuvrer à l'intérieur des silos et de pratiquer des décollages à la verticale.
Poursuivons nos investigations avec l'environnement proche.

Cette zone (en marron) est légèrement surélevée par rapport au reste du terrain et sera recouverte plus tard (entre 2006 et 2009) par une structure blanche réfléchissante. Elle est notamment composée d'un important réseau d'antennes dont les fonctions sont inconnues.

On peut noter sur cette installation les points remarquables suivants :
- La double clôture (en rouge) constitue une enceinte dont l'accès se fait uniquement par une entrée au Sud-Est.
- Les poteaux (en vert) aux abords du périmètre extérieur, forment ce qui peut être un réseau de surveillance par caméra.
- Les pylônes (en jaune) dont l'ombre projetée au sol permet une identification sans ambiguïté, offre un système d'éclairage impressionnant, qui laisse à penser que ce site est aussi éclairé la nuit qu'un terrain de foot !

Officiellement, ce bâtiment fait parti intégrante du DAF (Device Assembly Facility), dont la principale fonction est l'assemblage et le démantèlement des armes nucléaires, ce qui expliquerait le très haut niveau de sécurité du site.
Cette attribution permet-elle seulement de faire office de camouflage et de diversion...?
Serait-il possible que nous ayons sous les yeux les hangars du secteur 4... ?
Cela reste qu'une hypothèse, mais ce lieu soulève pas mal de questions et offre une piste intéressante de recherche...
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