Par définition, une civilisation qui n'a pas encore atteint un certain niveau technologique (ex : voyager à la vitesse de la lumière), reste en position de quarantaine sur sa planète, isolée des autres mondes et sous la surveillance et le contrôle d'une communauté plus évoluée. Ce groupe extérieur doit si possible, limiter ses interactions avec cette civilisation, afin de lui garantir une évolution autonome et conscientisée.

On retrouve cette règle de principe (directive première) dans la série Star Trek, qui fera l'objet d'une interprétation au fil des épisodes, du contexte et des situations rencontrées. En cela, dans le cadre d'un scénario catastrophe ayant pour origine une cause technologique, une civilisation n'ayant pas la maîtrise complète de l'exploitation de son énergie, doit-elle faire l'objet d'une assistance, ou d'un soutien quelconque ?

Loin d'être de la science-fiction, la civilisation terrestre a manifestement expérimenté ce cas de figure, au travers de l'incident nucléaire de la centrale de Tchernobyl. D'après les éléments sourcés et compilés par le Dr Daniel Harran, on peut noter dans les faits marquants de cet évènement :

- Pas d'explosion nucléaire, malgré un rejet massif de combustible radioactif dans l'atmosphère (~50 tonnes).

- Observation de lueurs au dessus de la centrale par plus d'une centaine de témoins.

- Alchimie inexplicable, avec ~140 tonnes d'uranium disparue et ~10 tonnes d'aluminium retrouvée dans le réacteur.

- Force inconnue qui a basculé le couvercle de recouvrement (~2000 tonnes) du réacteur endommagé sans le détruire et qui a laissé des incohérences structurelles.

- Baisse significative des taux de radioactivité après le passage d'un OVNI au-dessus du réacteur impacté.

La contamination radioactive lié à une explosion nucléaire sur le site de Tchernobyl aurait dû rendre inhabitable une majeure partie de l'Europe. Pourtant, il semblerait que l'exopolitique appliquée sur cet évènement, démontre une volonté de limiter les dégâts, tout en s'assurant de laisser une cicatrice suffisamment profonde, pour que les scientifiques et politiques prennent conscience de l'impact et des conséquences de leurs actes...