D’après les sources documentaires sur la description faite de l’astronef retrouvé en juillet 1947,

(voir sujet Roswell 1947)

la rétro-ingénierie de cet appareil devrait prendre du temps… Beaucoup de temps…

Imaginez que je sois une civilisation en pleine essor technologique et que mes archéologues découvrent lors de fouilles, un ordinateur dont je ne sais pas quel est son principe de fonctionnement.
Si je dispose de la technologie pour recréer les composants de cet appareil, mais que je ne sais pas ce qu’est l’électricité, ni comment la fabriquer, cela risque d’être long avant d’arriver à reproduire et à faire fonctionner ce dernier.

Dans une situation similaire, ce que l’on peut définir comme l’alimentation et/ou le réacteur du vaisseau ULAT-1, est un défi de rétro-ingénierie, qui devrait prendre plusieurs décennies à reproduire, notamment par rapport au niveau technologique de l’époque.

Sur fond de crise montante avec l’URSS, doublé d’un éventuel ennemi extra-planétaire, on imagine aisément la position des autorités passer en mode : « Ne me dites pas, que c’est impossible ! »

C’est dans ce contexte de tension que le programme Aquarius initié en 1943, va monter en puissance.
Pour le département Recherche & Développement, il s’agissait alors de créer un prototype de véhicule pouvant voyager dans le système solaire, à partir de concepts et brevets technologiques déjà existants.

Ces recherches donneront naissance aux Antigravity Research Vehicule :

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