
Ce dossier nécessite une connaissance des ouvrages d’Anton Parks, permettant de comprendre les rapprochements établit entre l’univers des Gina’abul et les êtres légendaires de l’Histoire.
En arpentant les monuments et musées, nous pouvons trouver des indices qui viennent corroborer les informations transmises par Anton Parks, au sujet de ces multiples races, qui auraient régné sur Terre, il y a de cela des milliers d'années.
Dans la section dédiée à l'ancienne Égypte du musée du Louvre de Paris, plusieurs personnages emblématiques sont représentés sur des tablettes, avec une peau verdâtre.
Ci-dessous : Nephtys, Isis et Osiris

Ci-dessous, à gauche : les mains d'Horus

Ce pilier Djed dessiné sur un sarcophage représente la symbolique d’Osiris (ou de sa colonne vertébrale selon les sources) :


En y ajoutant un panneau moderne à ses côtés, on pourrait presque y percevoir la représentation d'une bobine de Tesla...
Ci-dessous, toujours au Louvre, une représentation d'Isis et de son fils Horus :

Dans le texte adjacent (à droite), il est écrit :
"Isis. Elle est la plus populaire de toutes les déesses égyptiennes, le modèle des épouses et des mères, la protectrice à la magie invincible. Sœur et épouse d'Osiris, elle rassembla les membres dispersés de son bien aimé tué par leur frère Seth. Grâce à ses pouvoirs magiques, elle réussit à le ramener et pût concevoir de lui un fils : Horus."
Jésus, Marie, Joseph !!!
On retrouve cette sainte trinité encodée sur les murs et fresques du sanctuaire de Notre Dame de Lourdes.
Ici, sur le portail d'entrée, la déesse mère et son fils sur ces genoux :

Autre symbolique transférée d'un culte à un autre : la résurrection !
Ci-dessous, à gauche, Osiris renaît en Horus grâce aux pouvoirs des sœurs Isis et Nephtys en utilisant la technologie (Djed) de la Grande Pyramide de Gizeh (illustration du papyrus de Padiamon).
A droite, Jésus ressuscite comme par magie d'une caverne entouré d'anges, tel un phœnix qui renaît de ses cendres (fresque de Lourdes).

A noter que Joseph (Yuef) fait référence au corps d'Osiris.
Ce parallèle avec la culture égyptienne fait l'office d'un détail subtil placé dans cette autre fresque de Lourdes.
Notez l'inscription associée à ce personnage d'apparence égyptienne et à la Grande Pyramide dissimulée à ses pieds :

Le Neb Benu (Seigneur Phénix) alias l’Étoile du Soir, renaît en Neb Heru (Seigneur Horus) alias l’Étoile du Matin.
Le secret de cette réincarnation est conservé dans l'Arche d'Alliance !

La Passion du Christ, avec ajout d'un filtre version Gina'abul :

Une autre curiosité que l'on peut voir au sanctuaire de Lourdes au dessus de la Mère du trône :

Officiellement, il s'agit du grand sceau des États-Unis d’Amérique qui est représenté ici.
Mais si l’on se réfère uniquement à la symbolique :
"L'aigle fait référence aux Kingú…
Avec les lauriers et les flèches dans ses serres, il peut faire la paix et la guerre...
Le chiffre 13 est un nombre reporté dans la majeure partie des motifs : étoiles, lauriers, flèches, drapeau, ..."
Il pourrait en cela s'agir du sceau des 13 grandes familles Nirgalbúr (illuminati).
Représenté sur cette fresque au-dessus de la reine Isis / Marie et du clergé, cette symbolique peut en dire long sur le message transmis aux profanes...
La suite ici : Sur les traces (partie 2)
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