Ce dossier nécessite une connaissance des ouvrages d’Anton Parks, permettant de comprendre les rapprochements établit entre l’univers des Gina’abul et les êtres légendaires de l’Histoire.

 

En arpentant les monuments et musées, nous pouvons trouver des indices qui viennent corroborer les informations transmises par Anton Parks, au sujet de ces multiples races, qui auraient régné sur Terre, il y a de cela des milliers d'années.

Dans cette deuxième partie, nous allons nous intéresser au site de Rennes-le-Château.

En entrant dans ce petit village de l’Aude, il vous est rappelez de déposer pelle et pioche :

Sur le panneau d’accueil, l’abbé Saunière nous éclaire le plan tel un ermite avec sa lampe, sur le jeu de piste qui nous attends :

Le mystère de ce lieu est en lien avec un personnage historiquement nommé : Marie-Madeleine.

Dans l’hypothèse qu’il s’agisse d'une réplique de la lignée de Anna (Nephtys), ce lieu doit contenir des indices qui conduisent au clan de Enki (Osiris) / Asé’et (Isis) / Heru (Horus).

Enki est associé à Éa : le maître du temple de l’eau et qui pourrait donner ses couleurs azur et or au blason de Rennes-le-Château.

Pouvons-nous trouver d'autres subtilités en ces lieux, qui conduise à Enki-Éa ?

Si l’on regarde du côté de l’entrée de l’église Sainte Marie Madeleine :

Cette statue représente un diable avec un bénitier sur les épaules, surmonté de 4 anges.

La symbolique représentée ici, est que ce diable est pour ainsi dire « le porteur de l’eau de sainteté ».

Son nom est Asmodée et d’après ce qu’on peut lire à son sujet (source Wikipédia) :

« Il enseigne la géométrie, l'arithmétique, l'astronomie, la gématrie, l'artisanat. Il peut rendre l'invocateur invisible et lui faire connaître les trésors cachés [...]. Selon certaines versions, Asmodée serait le serpent qui séduisit Ève. Azazel est aussi connu selon d'autres pour être ce serpent.»

Pour ceux qui connaissent le dossier Eden d’Anton Parks, celui-ci nous conduit ainsi à Enki, Maître-maçon, initiateur du genre humain et serpent biblique, qui est ainsi encodé et dissimulé devant l’entrée.

Avec les initiales « BS » placées au-dessus du bénitier, Bérenger Saunière signe et applique avec cette sculpture placée devant et aux yeux de tous, une très ancienne tradition : "l’art de se cacher en pleine lumière".

De plus, l'abbé Saunière est représenté en ermite à l’entrée du village. L’ermite correspond à l’arcane IX (9) du tarot. Disons que le « hasard » à voulu placer ce chiffre 9 à droite de cette statue (il s’agit du 9ème bas-relief du chemin de croix). Plaçons la carte 9 du tarot sur ce dernier et nous obtenons une manière subtile de nous indiquer un mystère à éclairer, au sujet de l’identité de ce diable :

Les 4 anges représentés au-dessus du bénitier pourraient être les 4 déesses du clan d’Enki-Éa :

Asé’et (Isis), Anna (Nephtys), Ninmah (Serkit) et Dim’ege (Neret).

Analysons maintenant d'autres détails de cette église dédiée à Marie Madeleine, car comme on peut le lire sur le porche : "TERRIBILIS EST LOCUS ISTE" : ce lieu est redoutable.

Au milieu de l’église sur la droite, est représentée Marie Madeleine comme son nom l’indique.

Elle tient une croix et une cruche dans ses bras.

Le crâne posé à ses pieds symbolise la tête (décapitée) de sa sœur jumelle assimilable à Asé'et (Isis), avec qui elle se confond historiquement.

Marie-Madeleine est entourée de plusieurs saint(e)s qui, si l’on trace un « M » et que l’on prend la première lettre de leurs noms respectifs, doit former le mot « GRAAL » (voir chemin en vert sur le plan).

Or, lorsque l’on regarde le dernier emplacement qui est constitué par la chaire, il n’y a pas de Saint(e) indiqué par la lettre « L »... On retrouve à cet emplacement le Christ qui surplombe la scène et un deuxième Christ entouré des 4 évangélistes sur la partie basse.

Si l’on revient aux fondamentaux sur l'origine du Graal : le terme initial était Garâal (GA-RÂ-AL), c’est à dire « la pierre de lumière qui fait ascensionner » dans sa version suméro-égyptienne.

En ce qui concerne sa symbolique : la pierre symbolise l’œil d’Horus et la coupe le creuset alchimique ou s'opère la transmutation entre le feu Horien et le feu de la Vierge, porteuse de l'énergie du Saint-Esprit et de la royauté originelle.

Le sang christique (recueillit dans la coupe) est le symbole de la lumière d’Horus (sa foi, son pouvoir, son feu intérieur). La quête du Graal est pour ainsi dire, un chemin initiatique qui conduit à une transcendance vers l’illumination (ou la destruction).

On retrouve symboliquement ici, le parcours initiatique du Christ qui débute au niveau de la chaire, puis suit le chemin de croix avec les bas-reliefs notés de « I à XIV », jusqu'à sa transformation, son élévation, représentée par un alignement de vitraux notés sur le plan de « 6 à 9 ». Ce passage s’effectue au niveau du bas-relief « XIV ».

Comme pour l’ermite à l'entrée de l'église, apposons ici l’arcane XIV (14) du tarot, soit la Tempérance :

Entre le bas-relief "XIV" et le vitrail n°9, s’opère donc une élévation (reportée par les flèches bleues turquoise). Ce passage fait passer le Christ, de la pierre (des bas-relief) à la lumière (des vitraux) et il devient en cela, un disciple éclairé par le Saint-Esprit.

En associant la Tempérance originelle à la scène comme représentée ci-dessus, nous pouvons visualiser ce transfert d'un état à un autre, symbolisé par un écoulement de liquide entre deux coupes (remplacées par des cruches suivant les représentations).

Si la symbolique de la Vierge porteuse de l'énergie du Saint-Esprit et de la royauté originelle, qui effectue cette transformation est associable à Marie-Madeleine (représentée sur sa statue avec une cruche), il reste à savoir comment et par quel moyen le Christ passe de l'état de mort physique (suite à sa crucifixion), à l'état de ressuscité...

Si l'on regarde de plus près cette carte de la Tempérance (version RWS), on peut noter la présence de ce triangle dessiné sur son torse :

Triangle qui renvoi curieusement à la symbolique de la pyramide et donc au précédent dossier, qui traite du transfert entre Osiris et Horus à l'aide de la Grande Pyramide.

A propos de cette dernière, on remarquera que les ornements du sommet de la chaire, renvois subtilement à une représentation du Bit-Râ-Hem :

Avec les 4 vitraux, le parcours du Christ fait le tour de l'église intérieure et revient au point d'origine sur la chaire, où l’on a toujours ce « L » qui n’a pas trouvé de nom…
Ajoutons lui le « U » que dessine le chemin de croix sur le plan, suivi du « C » que forme les vitraux, et l’on obtient « LUC ».
C’est un peu tiré par les cheveux, mais ne serait-ce pas les 3 premières lettres de Lucifer...?
Si l’on reprend l’histoire originelle : le Christ (Kirišti) est associé à Heru (Horus), que l’on nomme aussi l’étoile du matin après sa résurrection et aussi le porteur de lumière, alias Lucifer.
Heru et Jean le Baptiste alias Hé'er (Her Râ), étaient prédestinés à régner ensemble et représentaient un équilibre dans l'opposition des forces. Ils étaient l'Alpha et l'Omega !       

Il y a plein d'autres indices cachés à découvrir dans cette église...

Autre point, pourquoi un ou plusieurs membres du clan d’Heru se seraient-ils retrouvés ici, ou à proximité de ce village ?

La tour Magdala associée à celle que l’on nomme la Dame de la Tour, ou encore Miriam de Migdal, pourrait-elle recouvrir, ou protéger un accès vers un site souterrain ?

La fortune de l’abbé Saunière, dont l'origine pose de nombreuses questions, a-t-elle été acquise en vue de maintenir un secret sur ce lieu ?

Rennes-le-Château n’a pas encore fini de nous révéler tout ses secrets !

Et les Gina’abul non plus...

La suite ici : Partie 3

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